Très rafraichissant en été :

Faire cuire 250 grs de semoule de couscous (moyen) dans 1 l d'eau bouillante salée, pendant 10 mn.

Faire refroidir et mélanger avec 1 grosse boite de thon, 1 poignée de raisins secs, 1(ou 2) piment(s) haché(s) fin, 1 bol de persil haché, le jus de 3 citrons(ou 1/2 flacon de jus tout prêt), 1/2 verre d'huile, sel et poivre.

Mettre au frigo dans un moule à cake pendant plusieurs heures.

Servir avec de la mayonnaise

Petite vidéo réalisée lors de la Saint Ferréol.

Après une longue absence, je reviens avec une nouvelle recette : le gâteau aux noix du Périgord, attrapé au vol lors d'une émission de télé "Les carnets de Julie".

Mélanger 75g de sucre en poudre et 150g de noix (moulinées avec la râpe à gruyère dit la dame qui a donné la recette, on y trouve plus de « morceaux » qu’avec un robot).

Ajouter une pincée de sel.

Faire fondre 100g de beurre y rajouter 75 g de sucre en poudre.

Rajouter au mélange.

Incorporer 3 gros œufs (un par un) en tournant, puis 2 cuillères à soupe (bombées) de farine (environ 30g, c’est plus précis que des cuillères).

 Verser dans un moule à manqué, tapissé de papier sulfurisé huilé, et mettre pour 20 minutes au four à 200° (th7).

 Pour le glaçage : faire fondre 115 g de chocolat avec 25g de beurre. Bien étaler sur le gâteau à sa sortie du four.

 Faire des stries dans les deux sens avec une fourchette sur le glaçage chocolat lorsqu’il commence à refroidir.

 Décorer avec 8 cerneaux de noix sur le pourtour.

Puisque ça a marché, on recommence l'opération.

Voilà, j'aime bien les diaporamas accompagnés d'un fond musical.

Dommage, ici, ce n'est pas possible. Alors, si je ne peux pas passer par la porte, j'essaie de passer par la fenêtre et j'ai eu l'idée de faire mes diaporamas avec Windows Movie Maker et de les publier sur You Tube.

Vous verrez les mêmes photos que celles qui étaient déjà là, mais sur fond d'une musique de la Renaissance.

Avouez que ça a une autre gueule

ou du moins avec les convenances.

J'en veux pour preuve cette carte postale que j'ai affichée pour le texte au verso.

Je le mets au clair pour que vous n'en perdiez pas une miette :

Monsieur,

Les charmantes cartes reçues de vous jusqu'ici m'avaient fait plaisir mais il n'en est pas de même de la dernière, qui loin de m'être agréable m'a laissée sous une très pénible impression ; et j'éprouve beaucoup de peine en pensant que vous ayez pu vous tromper à ce point sur mon compte, pour supposer que j'accepterais une première entrevue avec un jeune homme autrement qu'en présence de mes Parents.

E.

Etait-ce Emma ? ou Emilie ?

Dans tous les cas, cette lettre a réellement existé et je l'ai recopiée telle quelle y compris le P majuscule de parents.

Dans ce temps-là, on ne plaisantait pas avec la vertu des jeunes filles !!!

Mais pour la mettre en valeur, comme je suis une incorrigible "fleur bleue", je l'ai en quelque sorte "mise en cage", en espérant que le soupirant malmené en avait fait autant avec le coeur de sa belle et j'ai rapproché le tout d'une vieille photo de mariage.

Je peux donc terminer mon histoire sans grande surprise : "Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants ..."

Comme chacun sait, le Rhône nous sépare, mais de nombreux ponts nous relient et l'Ardèche est aussi un magnifique département, celui qui a inspiré la très belle chanson "La montagne" à Jean Ferrat.

J'ai choisi de vous en faire goûter une de ses spécialités, la châtaigne, avec trois petites recettes toutes simples à faire, mais délicieuses.

MARQUISE D'ARDECHE 

500 g de crème de marrons

50 g de beurre fondu

3 oeufs.

Mélanger le tout, verser dans un moule à cake badigeonné d'huile

et faire cuire 40 mn à four chaud (th 6)

Servir en tranches.

Peut se servir nature ou nappé de crème ou autre

PETITS BOUCHONS FONDANTS A LA CHATAIGNE

La recette est à peu près la même, mais la présentation est différente.   

500 g de crème de marrons

100 g de beurre fondu

3 gros oeufs

Mélanger la crème de marrons et le beurre fondu.

Ajouter ensuite les oeufs un par un.

Verser dans un moule à alvéoles et faire cuire 25 mn à four chaud (th6)

Attendez un peu qu'ils refroidissent avant de les  démouler.

Sur la photo, sont présentés à côté d'une assiette de massepains  

GLACE AUX MARRONS (sans sorbetière)

2 petites briques de crème liquide (non allégée)
une boîte de 500g de crème de marrons

des brisures de marrons glacés
facultatif : une cuillère soupe de rhum (ou autre).

Battre la crème en chantilly très ferme, puis l'incorporer à la crème de marrons.
Rajouter les brisures de marrons glacés et l'alcool de votre choix.

Pour une présentation en tranches, mettre dans un moule à cake tapissé d'une feuille de scello-frais qui dépasse largement. Quand la glace est prise, la retirer du moule en tirant sur le scello-frais après avoir passé le moule quelques secondes dans l'eau très chaude. Retirer le scello-frais et la plier dans du papier sulfurisé pour la conserver au congélateur.

On peut trouver au moment des fêtes de Noël, des brisures de marrons glacés qui sont bien plus économiques que les marrons entiers et qui se congèlent trés facilement, afin de pouvoir en avoir tout au long de l'année. Avant de les mettre en sac, les étaler  sur un plateau pour les congeler. Attention, elles ne deviennent jamais très dures.

C'est le titre d'un poême d'Yves Duteil que j'ai reçu plusieurs fois lors de transmission de mails et  que je veux à mon tour partager, car il va me permettre une introduction à quelque chose qui m'est cher : l'école.

Loin des vieux livres de grammaire,                                                              

Écoutez comment un beau soir,

Ma mère m'enseigna les mystères

Du verbe être et du verbe avoir.

Parmi mes meilleurs auxiliaires,

Il est deux verbes originaux.

Avoir et Être étaient deux frères

Que j'ai connus dès le berceau.

Bien qu'opposés de caractère,

On pouvait les croire jumeaux,

Tant leur histoire est singulière.

Mais ces deux frères étaient rivaux.

Ce qu'Avoir aurait voulu être                                                                                             

Être voulait toujours l'avoir.

À ne vouloir ni dieu ni maître,

Le verbe Être s'est fait avoir.

Son frère Avoir était en banque

Et faisait un grand numéro,

Alors qu'Être, toujours en manque.

Souffrait beaucoup dans son ego.

Pendant qu'Être apprenait à lire

Et faisait ses humanités,

De son côté sans rien lui dire

Avoir apprenait à compter.

Et il amassait des fortunes

En avoirs, en liquidités,

Pendant qu'Être, un peu dans la lune

S'était laissé déposséder.

Avoir était ostentatoire                                                                                

Lorsqu'il se montrait généreux,

Être en revanche, et c'est notoire,

Est bien souvent présomptueux.

Avoir voyage en classe Affaires.

Il met tous ses titres à l'abri.

Alors qu'Être est plus débonnaire,

Il ne gardera rien pour lui.

Sa richesse est tout intérieure,

Ce sont les choses de l'esprit.

Le verbe Être est tout en pudeur,

Et sa noblesse est à ce prix.

Un jour à force de chimères                                                                              

Pour parvenir à un accord,

Entre verbes ça peut se faire,

Ils conjuguèrent leurs efforts.

Et pour ne pas perdre la face                                                                                         

Au milieu des mots rassemblés,

Ils se sont répartis les tâches

Pour enfin se réconcilier.

Le verbe Avoir a besoin d'Être

Parce qu'être, c'est exister.

Le verbe Être a besoin d'avoirs

Pour enrichir ses bons côtés.

Et de palabres interminables

En arguties alambiquées,

Nos deux frères inséparables

Ont pu être et avoir été.

Et avant de vous montrer d'autres de mes trésors, trouvés en brocante et relatifs à l'école, je vous invite à aller faire un tour sur ce site pour vous mettre dans l'ambiance cliquez ici

Ce petit chat vous annonce un spectacle musical.

Je suis admirative devant tant de virtuosité, d'autant plus que je me suis essayée à l'accordéon il y a quelques années et que, si la main droite, ça allait, si la main gauche, ça allait aussi, c'était une toute autre affaire de jouer les deux mains ensemble.